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Réchauffement climatique : réalité ou arnaque?

Publié le par frico-racing

LES DERIVES DE "L’ECOLOGISME"

"Si le climat était une banque, ils l'auraient déjà sauvée !"

Au moment où :

-la taxe carbone est (provisoirement) abandonnée (voir article dédié)

-le GIEC est accusé de "manipulations"...

-des "climato-sceptiques" comme  le physicien Serge Galam, la géographe Sylvie Brunnel ou encore le très controversé géochimiste Claude Allégre ,et beaucoup  d'autres (voir liens), s'interrogent sur les finalités réelles du tapage politico/médiatique fait autour du "réchauffement climatique", il est bon que, sans tomber dans la théorie du complot, face à l'unanimisme ambiant on puisse renouer avec les vertus du doute...

Surtout quand on sait par exemple que, le CO2 est "inoffensif" pour la santé (contrairement aux particules fines du gasoil par exemple), les véhicules subventionnés dits "moins polluants" les plus vendus 7/10 en France.

 2009 11 06 jour dapres

Le jour d'après ?

 Par Patrick MIGNARD professeur d'économie à l'IUT de Toulouse:(janvier 2009)...extraits

"L’écologie semble ne pas faire exception dans les dérives «idéologiques» des bonnes idées.

Elle est en train de devenir, elle aussi, un «isme», véritable dégénérescence de l’idée originelle.

L’écologie, devenue un «fromage politique» pour des organisations politiciennes et des arrivistes, est en train de perdre sa pureté d’origine, en un mot sa crédibilité et son efficacité et en passe de servir toutes les causes, même les moins nobles.

DE L’ECOLOGIE A L’ECOLOGISME…

Une idée dégénère lorsqu’elle est accaparée par une bureaucratie qui en fait une fin en soi… pour sa promotion et sa survie.

L’intérêt général, qui était censé la fonder, passe alors au deuxième plan et ne devient que le prétexte à une politique tournée vers des intérêts privés, ceux des possesseurs du capital et de leurs relais dans la sphère du politique.

Tout le monde est, en effet, devenu «écologiste», même les pires pollueurs donnent des leçons d’écologie et s’en servent d’argument pour leurs publicités mensongères…

 Au fur et à mesure de son développement, l’écologie perd de sa substance et s’égare dans des considérations et des pratiques qui, tout en faisant référence à elle, servent essentiellement des intérêts qui lui sont parfaitement étrangers et surtout n’aide en rien à régler les véritables problèmes.

Certes, devant la dégradation de l’environnement un sentiment collectif de crainte et d’angoisse est de plus en plus palpable, mais devant la passivité citoyenne, largement entretenue par les politiciens – « votez pour nous on s’occupe de tout » -, ces derniers en profitent pour, non seulement n’apporter aucune solution aux problèmes écologiques qui se posent, mais profiter politiquement et financièrement de cette crainte.

Accaparée par les pouvoirs en place, ceux qui sont les garants du système marchand, elle devient une caution, un alibi, pour donner l’impression au bon peuple que l’ «on s’en occupe», que l’ «on fait le nécessaire», … mais que l'« on ne peut pas avoir tout, tout de suite»… conclusion «on ne fait rien ou pas grand-chose». L’écologie n’est certes pas une exception… toutes les bonnes causes ont tourné au «vinaigre» : démocratie, socialisme, humanisme,…C’est ainsi que l’écologie devient de l’écologisme.

UNE NOUVELLE «ARISTOCRATIE» POLITICIENNE...

Des carrières, des promotions sociales, des ambitions démesurées, se fondent aujourd’hui sur l’écologie…

Les nouveaux grands prêtres de l’écologie bâtissent une véritable Eglise avec sa Divinité, son dogme, ses fidèles et ses dissidents. D’un combat honorable au début, dans les années 70, on est passé à la gestion d’un misérable, mais juteux, fond de commerce .

Les «nouveaux écologistes» professionnels constituent aujourd’hui une caste parasite qui vit de la culpabilisation du bon peuple.

Mais les politiciens traditionnels ne sont pas en reste. Ils se sont jetés avec avidité et indécence sur ces problèmes, ne voulant pas se faire doubler par des nouveaux (par)venus et voyant là un moyen commode de gruger le citoyen naïf et surtout de taxer partie ou totalité de la population, avec l’excuse de la «bonne conscience écologique».

Ils sont de plus assurés d’être soutenus par les nouveaux venus décider à avoir leur part de «fromage»… et même plus si possible.

Toute contestation des mesures prises est immédiatement condamnée au non des intérêts supérieurs de la Planète et de l’ «avenir des générations futures»…

Ben voyons, rien que ça ! L’intolérance, la culpabilisation, la manipulation, la dissimulation, le racket sont devenus des pratiques courantes des pouvoirs qui se drapent de l’ «écharpe verte».

contre-grenell

Des exemples ?

-La taxe carbone" (provisoirement abandonnée, depuis la claque des régionales) "qui n’est rien d’autre qu’un nouvel impôt et qui, bien évidemment ne contribue en rien à l’amélioration de l’équilibre écologique, sinon a combler le déficit budgétaire.

-La taxe sur les puits, qui pénalise ceux qui ont un jardin et cultivent leurs fleurs et légumes… taxe qui va désormais permettre de dépasser le stade de la responsabilité et de justifier une utilisation inconsidérée de l’eau…«pourquoi se priver puisqu’on paye !».

Demain à n’en pas douter une taxe sur les cheminées, prenant prétexte l’émission de CO2. Et pourquoi pas non plus une taxe sur la respiration, l’eau de pluie récupérée (tout se paye) et la non récupérée (gaspillage), les fenêtres, l’accès aux forêts, … etc… Il n’y a en fait aucune limite à ce racket car, bien évidemment, pendant que l’on taxe le bon peuple, les gros industriels ne se gênent pas pour saccager la planète avec la complicité des MAFIAS et pouvoirs en place… voir COPENHAGUE, ou "la prime à la casse automobile".

Ainsi un nouveau type de soumission est imposé aux populations… et bien évidemment pour leur bien.

UN AVATAR DU «LIBERAL-ECOLOGISME».

Traiter des problèmes d’environnement dans le cadre d’un système marchand libéral était la pire des options…

Nous en vivons aujourd’hui les affres,… et les générations futures n’ont pas fini d’en payer le prix.

Alors que les rapports de l’Homme dans la Nature sont affaire de conscience et de responsabilité, l’option libérale, celle qui gère tout aujourd’hui, le soumet aux «lois du marché» (libre et non faussé)… autrement dit à un mécanisme aveugle et qui met en action les pires réflexes de l’esprit humain : concurrence, cupidité, individualisme, intérêt à court terme.

Par exemple, la mise entre les mains de la «finance» des «droits de polluer» ne peut conduire qu’à un désastre.

Tous nous font croire que c’est en payant que l’on sauve la planète ( ?).

«Faire payer» est leur seul mode d’action…

Le libéralisme place la conscience dans le porte monnaie.

Le traitement des problèmes d’environnement, aujourd’hui, démontre l’incompétence et la cupidité des pouvoirs en place, dont certains dits «démocratiques», c’est-à-dire fondés sur une légitimité populaire.

Tout ceci en dit long sur l’impasse politique dans laquelle nous nous trouvons. Non seulement nous n’arrivons pas à résoudre des problèmes qui risquent à terme d’engager l’Humanité dans une catastrophe, mais se répètent des processus politiques qui nous enfoncent encore plus dans la crise et dans l’impasse.

L’écologie, qui est au départ une prise de conscience des rapports de l’Homme à la Nature, est entrain de tourner en cuisine politicienne et est accaparée par des profiteurs.

Il est temps de se réveiller et de ne plus écouter les chants de sirènes des nouveaux sauveurs qui nous sollicitent pour obtenir une légitimité.

Il est temps de ne compter que sur nous mêmes pour créer des conditions sociales de vie compatibles avec les lois de la nature. Peut-être que nous, nous ne souffrirons pas de notre inconsistance, mais nos descendants ont tout à craindre."

 

Raison garder...(souligner par moi)

Loin de contester la réalité du réchauffement du (en partie) à l'homme (dit anthropique) ce que pour ma part je dénonce (avec d'autres) c'est "la pensée unique" et l'utilisation, la récupération, qu'en font les lobbies, industriels, pseudos-écolos et nucléaires, les gouvernements en "simplifiant" les réponses..."droit de polluer", "contribution carbone", embrouilles en tout genres génératrices de taxes ou TVA etc...et ils ont des idées en la matière, d'autant que faire la part des choses n'est pas simple.
Le réchauffement ou refroidissement non "anthropique" sont des réalités qui se mesurent sur des siècles et des milliers d'années  et non à l'échelle de quelque générations, ou quinquennats!
Par exemple, des astro-physiciens étudient actuellement l'impact des rayons GAMMA (issus des supernovas qui auraient leur responsabilités) sur les variations du trou d'ozone...je laisse de coté, les multiples cycles solaires, EL Ninio, les éruptions volcaniques, les variations du champs magnétique ou de l'axe terrestre etc...
Tout ceci pour dire que la "simplification, n'est peut être pas du coté qu'on nous montre !

Une idéologie de crise
Indépendance n'est pas neutralité, le GIEC n'est pas plus "indépendant" que l'OMS, ou d'autres organismes de ce type. La science et l'utilisation qu'on en fait n'est jamais neutre (l'atome médical ou Hiroshima)...
Tout ceci fleur bon "l'idéologie de crise" et me rappelle "le soit disant choc pétrolier 1973" et l'austérité qui va avec depuis...(toujours pour les mêmes bien sûr).
Le système est très fort pour utiliser les crises (vraies ou supposées), les catastrophes et à défaut il sait les CREER (voir l'école de Chicago).

En conclusion

Le principe du libéralisme est de supprimer toutes les contraintes économiques, l'écologie "vraie", à l'instar du «social» est incompatible avec le  système économique actuel: L'écologie engage le long terme et le collectif : deux dimensions que le marché (libre et non faussé) et la recherche du profit à court terme sont incapables d'assumer.

C'est bien pourquoi l’écologie exige une intervention publique forte, une «véritable planification».

Or les traités européens (notamment) empêchent cela.

Dès le traité de Rome, la concurrence a été élevée au pinacle...et depuis l'Acte unique de 1986, cela n'a cessé d'être durci (jusqu’au traité de Lisbonne)…la concurrence est première, le reste lui est soumis.

Pendant ce temps

-Les profits de l'industrie pétrolière représentent par an environ 150 milliards de $.

 -On favorise délibérément le diesel pourtant beaucoup plus polluant pour la santé (cancers, etc).

-Le monde a besoin de 30 milliards de $ par an pour éradiquer le fléau de la faim.

-Les ventes d'armes dans le monde, c'est plus de 1000 milliards $ par an.

-Le budget mondial de la publicité  se monte à 900 milliards de $.

-En un an, le nombre de milliardaires en $ est passé de 793 à 1011 et leur patrimoine cumulé représente 3 600 milliards de dollars, en hausse de 50% par rapport à l’an dernier.

Et c'est aux peuples qu'ils demandent de faire des efforts !

Le système capitaliste, dont le but est la recherche du profit à court terme pour l'intérêts de quelques uns, peut il prendre en compte les coûts à long terme tels que la dégradation de l'environnement ?

La réalité est une contrainte que le libéralisme ignore. Le libéralisme est anti-écologique.

D'ailleurs une phrase de Milton Friedamn l'économiste prix nobel qui représente le mieux le libéralisme a dit ceci : "La responsabilité sociale de l'entreprise est d'accroître son bénéfice". L'économie libérale ne s'occupe que d'économie et de finance, pas d'écologie ou de social !
De plus le système libéral est basé sur lune croissance infinie, ce qui encore une fois ne prend pas en compte que les ressources de la terre sont limités !

frico


 -Voir également, mes autres articles sur la question.

-Serge Galam - « Les scientifiques ont perdu le Nord, Réflexions sur le réchauffement climatique » (Plon 2008). "Dans ce passionnant opus, qui analyse les ressorts de l'unanimisme ambiant sans tomber dans la théorie du complot, on renoue avec les vertus du doute". 
Pour lui : "On ne peut pas prévoir comment va évoluer le climat"..."La climatologie (trop jeune) n'est pas encore une science"...les conclusions qu'elle engendre "s'apparente davantage à une croyance",  il craint l'avènement d'un "droit d'ingérence planétaire pour sauver toute la planète"...une sorte de nouveau "colonialisme" qui ne dirait pas son nom !   

-A lire :

Benoît Rittaud est mathématicien, maître de conférences à l’université Paris-13.

Le mot de l'éditeur :
Le consensus sur la responsabilité de l’humanité quant au changement climatique est en train de s’effriter. Voici un point de vue sceptique argumenté, qui, sans prétendre faire le tour de la question, prouve que les données scientifiques sont plus fragiles et moins concluantes que l’on ne croit.
L’auteur, mathématicien, est bien placé pour montrer la fragilité des données statistiques.
Il analyse aussi l’arrière-plan épistémologique de la question et avance que l’on pourrait bien se trouver ici face à un cas de science pathologique.
L’importance des enjeux, économiques et sociaux en particulier, du débat climatologique demande que l’on accorde une attention particulière à ces critiques.
 
-voir également:
-http://www.dailymotion.com/video/x5tt1o_sylvie-brunel-a-qui-profite-le-deve_news
-http://www.rue89.com/2009/11/07/on-ne-peut-pas-prevoir-comment-va-evoluer-le-climat-124860

-Ce que les grands médias n'ont pas entendu...

CHAVEZ à Copenhague:


http://www.youtube.com/watch?v=FVhFzAfcz-c

http://www.youtube.com/watch?v=6e6pLXvu … re=related

http://www.youtube.com/watch?v=qef5bj5s … re=related33594212_p.jpg

C'est pourtant vrai que si chacun fait un effort, on devrait y arriver !


  Toutes mes vidéos sur:

http://www.youtube.com/fricoracing


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